Retrouvez la synthèse des chiffres de production des différentes énergies renouvelables en Hauts-de-France : évolution de la production totale d'EnR de 2010 à 2017, comparaison de la production renouvelable avec le national pour 2017, répartition de la production d'énergie renouvelable et de récupération en 2017 pour chaque source et regroupement selon différents vecteurs énergétiques...La production d'ENR a doublé entre 2010 et 2017, passant de 11 à 21 TWh, ces derniers représentent 10% de notre consommation actuelle d'énergie en région ; le mix énergétique des Hauts-de-France contient 3 fois plus d'énergie éolienne que celui de la France ; le Bois Énergie représente 43% de notre production d'ENR en région, soit l'énergie renouvelable la plus représentée...
Cette publication permet de dresser un état des état des lieux actualisé des énergies renouvelables en France, avec une mise en perspective internationale.En croissance régulière depuis plusieurs années, les énergies renouvelables représentent 14,0 % de la consommation d’énergie primaire en 2022, contre 8,8 % dix ans plus tôt.Parallèlement, leur poids dans l’économie française s’est accru : elles sont ainsi à l’origine, en 2020, de 10,8 Md€ d’investissements et de 85 000 emplois en équivalent temps plein.Très diverses, les énergies renouvelables en France regroupent une dizaine de filières. Le bois-énergie et l’hydraulique restent les plus développées, mais l’éolien et les pompes à chaleur sont parmi celles qui progressent le plus ces dernières années. Selon les règles de calcul européennes, la part des énergies renouvelables atteint 20,7 % de la consommation finale brute d’énergie en 2022. En 2021, la France se situait à la 14e position de l’Union européenne pour cet indicateur.En niveau absolu, la France est le deuxième producteur européen de biomasse, d’hydroélectricité, de déchets renouvelables et de géothermie.
La politique énergétique se caractérise par un grand nombre d’objectifs quantitatifs, comme en atteste la programmation pluriannuelle de l’énergie. Faire connaître à un large public les principales statistiques du domaine est donc essentiel pour éclairer le débat. Tel est l’objectif de cette publication qui fournit des informations sur la production, la consommation et les prix pour les différentes formes d’énergie en France et dans le monde, et met en lumière les principales évolutions à l’œuvre.
La mortalité liée aux risques naturels majeurs d’origine climatique est modeste en France. Toutefois, dans le contexte du changement climatique, le nombre d’événements naturels dommageables pour la population, les biens et l’environnement est susceptible de s’accroître. En 2016, les risques climatiques concernent potentiellement six Français sur dix. La vulnérabilité des territoires dépend également de l’exposition des différents pans de l’économie locale, exposition qui présente de fortes disparités entre les territoires.
Cette publication, par son organisation et le choix des thèmes abordés, a pour ambition d’informer un public le plus large possible sur le changement climatique, ses mécanismes, causes et effets ainsi que sur les dispositifs mis en place pour le circonscrire, aux échelles internationale, européenne et nationale.Elle fournit en particulier des statistiques détaillées sur les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, en Europe et en France.
La Stratégie nationale de transition écologique vers un développement durable 2015-2020 (SNTEDD), adoptée en conseil des ministres du 4 février 2015, mettait en avant 4 enjeux écologiques majeurs et présentait une vision commune pour tendre vers une société plus sobre à horizon 2020 (axes 1 à 3), en proposant les leviers pour accélérer et accompagner la transformation du modèle économique et social (axes 4 à 6) et en renforçant la pédagogie et la gouvernance pour favoriser l’appropriation et l’action de tous (axes 7 à 9). Ce bilan de la SNTEDD fait le point sur les évolutions en matière de développement durable entre février 2015 et janvier 2020. Il dresse un panorama des principales politiques publiques ayant contribué aux orientations de la stratégie et il rend compte de la situation en France à travers une série d’indicateurs. Ce document croise également les axes de la SNTEDD avec les nouveaux cadres structurants du développement durable. Ce bilan 2020 a été élaboré par le Commissariat général au développement durable et intègre les contributions des Hauts fonctionnaires au développement durable de chaque ministère.
Chaque année, RTE (gestionnaire du Réseau de Transport d'Electricité) établit un bilan de la production, de la consommation et du transport de l'électricité en France.Une tendance de long terme à la stabilisation de la consommation totale d’électricité s’observe depuis 2010 et traduit une meilleure maîtrise de la consommation mais également un ralentissement de la croissance économique et de la croissance démographique.
L’étude d’adaptation réalisée étudie les impacts à la fois du réchauffement climatique mais aussi de la raréfaction des ressources énergétiques et des matières premières sur tous les secteurs (collectivités, habitants, activités économiques et agricoles…) Il s’agit ici d’alimenter la réflexion et la connaissance de l’ensemble des acteurs (élus locaux, chefs d’entreprises, particuliers, associations…) sur la vulnérabilité du territoire et les pressions exercées notamment sur les ressources (énergie, eau, biodiversité…). L’objectif est de mettre en évidence les impacts économiques, sanitaires et environnementaux du réchauffement climatique. Elle a permis de dégager les opportunités économiques et sociales d’une stratégie collective d’adaptation, de développer une animation dynamique permettant d’acculturer progressivement les partenaires aux concepts, enjeux et démarches de vulnérabilité et d’adaptation et d’engager des actions concrètes. Cette étude n’est pas une étude d’adaptation « classique » sur les vulnérabilités d’un territoire dues uniquement aux changements climatiques puisque deux focus viennent enrichir cette étude prospective, économique et urbanisme. Le volet économique : quels seront les impacts pour les entreprises locales, quelles nouvelles stratégies seront à adopter face aux changements climatiques mais aussi à la hausse du prix des énergies et de la raréfaction des ressources ? La réorientation des chaînes d’approvisionnement et de production, le développement de l’économie circulaire, la production de nouveaux biens et services sont autant de pistes possibles à étudier.Le volet aménagement et urbanisme : Comment intégrer l’adaptation au changement climatique dans la révision du SCOT ? Dans un territoire à la fois urbain, périurbain et rural, quelles formes d’aménagement (en termes d’organisation et de fonctionnement) promouvoir ?
La présente mission vise à proposer une stratégie d’efficacité énergétique pour l’industrie qui permette de concilier les impératifs écologiques de réduction des Gaz à Effet de Serre (GES) avec la pérennisation des activités économiques régionales, dans le cadre d’une approche territoriale. La mission s’organise en 3 phases successives :- Phase 1 : analyse des enjeux énergétiques par type d’activités économiques ;- Phase 2 : analyse territoriale de l’empreinte énergétique de 3 bassins économiques ;- Phase 3 : étude (territoriale) de prospective « facteur 4 ».
Le Club STEP (Synergies pour la Transition Energétique par la Planification), travaille depuis 2016 sur la question des données énergétiques territoriales. Ce document permet d'élargir l'analyse autour de l'identification des potentiels afin d'aider les territoires dans la construction de leurs stratégies et politiques énergétiques et est à destination des collectivités territoriales.Ce 4 pages fait partie de la série de publications de l'ADEME avec le club STEP les données énergétiques territoriales pour la planification et l'action énergie-climat. Il vient en complément des informations du premier 4 pages sur la production, le transport et la distribution d'énergie.Titre complet : Les données énergétiques territoriales pour la planification et l'action énergie-climat / L'Etude des potentiels, un atout pour bâtir une stratégie territoriale N°3.