Dans cette rubrique, vous trouverez des données à l'échelle de votre territoire (Département, SCOT, Pays/PETR, PNR, EPCI ou commune).
En complément vous pouvez également accéder à la page open-data qui permet de télécharger d'une manière différente les données produites par l'Observatoire Climat (fichiers csv / copie d'url).
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L'évolution des températures, moyennes ou extrêmes, est le signal le plus clair du chan...
Cet indicateur concerne le gisement net en photovoltaïque par commune. Ce gisement comp...
La donnée présentée est la hauteur du niveau annuel moyen de la mer pour une station do...
La phénologie étudie les cycles biologiques et leurs liens avec les conditions climatiq...
Cet indicateur s'intéresse à l'évolution des populations d'espèces d'oiseaux les plus s...
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Ces "activités vertes" sont définies comme produisant des biens ou services a...
L'artificialisation des sols est notablement dûe au phénomène d'étalement urbain. Cette...
Ce jeu de données permet de représenter l'état des pratiques de mobilité des habitants...
Le biogaz est un gaz combustible naturel provenant de la fermentation, en l’absence d’o...
Ce diagramme pédagogique représente les différents flux de gaz à effet de serre (GES) émis par un territoire. Les émissions directes de GES sont celles faisant l'objet de la majorité des obligations de reporting carbone. Les émissions indirectes de GES sont en cours d'exploration et reflètent davantage la consommation des ménages d'un territoire. Enfin, les émissions liées à l'usage des sols et de la biomasse doivent également être prise en compte si l'on veut estimer complètement l'empreinte carbone d'un territoire.
L’ADEME propose ici une méthode pour la quantification de l’impact GES d’une action de réduction des émissions. Il s’agit d’une démarche pratique, par étape, qui aide l’utilisateur à caractériser l’action visée, à établir l’arbre des conséquences de l’action puis à poser et réaliser les calculs permettant la quantification. La présente méthode s’adresse à l’ensemble des organisations, concernées ou non par la réglementation issue de l’Article 75 du Grenelle 2, qui mettent en œuvre des actions pour la réduction des émissions de GES et souhaitent quantifier l’impact GES de ces actions.
Les terres agricoles et la forêt occupent plus de 80 % du territoire national et séquestrent actuellement 4 à 5 GtC (soit entre 15 et 18 Gt CO2) dont plus des deux tiers dans les sols. Toute variation positive ou négative de ce stock influe sur les émissions nationales de gaz à effet de serre (GES), estimées à 0,5 Gt CO2eq/an (valeur 2011).Les filières agricoles et forestières offrent aussi des solutions pour lutter contre le changement climatique en produisant des énergies renouvelables et en préservant ou en augmentant les stocks de carbone dans la biomasse et les sols. La gestion des matières organiques, principal réservoir de carbone dans les sols, est un déterminant majeur de la capacité des sols à produire des aliments et des matériaux, et à fournir d'autres services environnementaux comme la régulation du cycle de l'eau et de la qualité de l'air...Agir sur les stocks de carbone dans les sols, c'est aussi agir sur la qualité des sols et des milieux.Cette brochure rappelle la place du carbone des sols dans l'atténuation du changement climatique en France, en s'appuyant sur les données issues du GIS Sol.
Ce document propose de mettre en perspective les différentes approches d’évaluation des émissions de GES à l’échelle des territoires au regard des récentes évolutions réglementaires et par rapport aux besoins exprimés par les différents niveaux de gouvernance territoriale. Ce document doit aider à répondre aux questions suivantes : • Quelles sont les principales méthodes existantes pour les collectivités en France et qu’est- ce qui les différencie ? • Comment s’articulent ces méthodes avec les nouvelles obligations réglementaires ? • A quels besoins des territoires permettent-elles de répondre ?• Quelle méthode est la plus appropriée à un Plan Climat Energie-Territoire (PCET) ?
Cette étude évalue l'efficacité énergétique en Nord-Pas de Calais. Elle aborde différents secteurs (le résidentiel, les transports, le tertiaire, l'énergie et l'industrie) en faisant un état des lieux et proposant des leviers d'amélioration énergétique pour chacun d'entre eux.
Ce document est un extrait de l'étude efficacité énergétique en Nord-pas-de-Calais, réalisée par Energies Demain et E&E consultant pour le Conseil Régional Nord-Pas-de-Calais et l’ADEME Nord-Pas-de-Calais. Elle présente la partie réservée à l'industrie et en analyse la consommation d'énergie de manière sectorielle.
L'adaptation est restée pendant longtemps le parent pauvre du débat et des politiques sur le changement climatique. Mais la diffusion de l’information sur le changement climatique amène de nombreux acteurs à s’interroger sur la meilleure manière d’en limiter les conséquences, et on voit éclore une multitude d’initiatives sur l’adaptation, notamment au niveau local. L’adaptation prend aussi une importance croissante dans la négociation internationale. L’adaptation peut être définie comme « l’ensemble des évolutions d’organisation, de localisation et de techniques que les sociétés devront opérer pour limiter les impacts négatifs du changement climatique et en maximiser les effets bénéfiques ». Elle recouvre des formes d’actions très variées qui s’appliquent à de nombreux secteurs. Ses problématiques diffèrent suivant les zones et les échelles géographiques et sa mise en œuvre implique de combiner des instruments très divers.Le présent rapport propose un cadrage économique général du problème de l’adaptation afin d’aider les acteurs publics et privés à construire des stratégies d’adaptation efficaces. Pour ce faire, il dresse les enjeux généraux de l’adaptation, identifie les leviers pertinents de l’action publique puis en décrit les implications pour la conception des stratégies d’adaptation.Le conseil économique pour le développement durable (CEDD) est une commission consultative auprès du ministre chargé du développement durable, créée par décret du 1er décembre 2008. En 2010 il s'agit du Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de la Mer.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a élaboré des scénarios d'émissions à long terme en 1990 et 1992. Ces scénarios ont été largement utilisés pour analyser les changements climatiques possibles, leurs impacts et les solutions pour les atténuer. En 1995 les scénarios de 1992 du GIEC ont été évalués. Cette évaluation a abouti à la recommandation d’une étude portant sur les changements importants intervenus depuis 1992 dansla connaissance des forces motrices des émissions et des méthodologies. Cette évolution de la connaissance porte par exemple sur l'intensité du carbone dans l'approvisionnement énergétique, le fossé entre les revenus des pays développés et des pays en développement et les émissions de soufre. Cela a amené le GIEC à décider en plénière, en 1996, d'élaborer un nouvel ensemble de scénarios, qui est décrit dans le présent rapportgiec
L’étude des projections climatiques de Météo-France pour le XXI siècle ainsi que l’analyse des vulnérabilités spécifiques au territoire ont permis de mettre en évidence les impacts qu’impliqueront les modifications climatiques à venir pour l’ensemble des secteurs d’activités du Nord-Pas-de-Calais et de la Picardie. L’un des objectifs de l’étude était également de dépasser les limites administratives en identifiant de grandes entités territoriales homogènes et en mettant en exergue les impacts attendus du changement climatique sur ces « territoire cohérents » au sens géographique du terme. En effet, un territoire cohérent se définit par son identité spécifique basée sur ses caractéristiques naturelles et climatiques, ses activités socioéconomiques phares, ses acteurs et ses réseaux. Il constitue donc un espace cohérent sur lequel le changement climatique aura des impacts spécifiques en lien direct avec le territoire.